L'Ecole des Ombres
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 .:: Mlle Blake, Directrice ::.

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Alisha Blake

Directrice de l'Ecole / Professeur de Mythologie
Directrice de l'Ecole / Professeur de Mythologie
Alisha Blake


Féminin
Nombre de messages : 57
Age : 38
Statut (Prof de..., Eleve : Directrice / Professeur de Mythologie
Localisation RP : Lycan
Date d'inscription : 17/08/2006

Fiche RP
Race: Lycan
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MessageSujet: .:: Mlle Blake, Directrice ::.   .:: Mlle Blake, Directrice ::. EmptyJeu 24 Aoû - 3:04

Nom : Blake
Prénom : Alisha
Date de Naissance : 13 juin 1876
Pays d'Origine : Royaume-Uni
Emploi : Directrice de Haunted Hall
__________________


Description Physique : Allons bon... Je dois donc me décrire... Certes, c'est moi qui ai décidé de ces fiches, je me dois de montrer l'exmple... Bien. Alors que dire ? Premièrement, je mesure un mètre soixante-quatre. C'est vrai que pour l'époque actuelle, c'est peu, mais je reste plus ou moins dans les normes. Mes cheveux sont blonds comme les blés et tombent en cascade de boucles autour de mon visage. Ils sont coupés au niveau des épaules parce que j'en avais assez de les garder longs. Quand je suis née, la mode était aux longs cheveux remontés en chignon, et j'en ai souffert toute mon enfance. J'ai les yeux gris comme un jour d'orage, et ils prennent une légère teinte bleutée lorsqu'il pleut. Je suis plutôt fine, ce qui me permet de me vêtir à ma guise, bien que mes préférences soient principalement portées sur les robes, longues ou courtes (sans trop exagérer non plus, j'ai un exemple à montrer), et les jupes portées avec un chemisier. Comme bijoux, je tiens particulièrement à un médaillon que m'a offert ma mère. Il s'ouvre pour laisser apparaître d'un côté son portrait, de l'autre celui de mon père. J'ai également une bague en argent qui me tient très à coeur, souvenir de mes premières amours.
Psychologie : Psychologiquement, je ne sais pas trop quoi dire. Je pense être assez équilibrée, sinon jamais je n'aurais pu être directrice d'un établissement tel que celui-ci. J'ai ce que l'on qualifie actuellement de "flegme britannique". Du moins, à ce que l'on raconte. Il est vrai que je suis quelqu'un de très posé et réfléchi, mais j'avoue avoir quelques sautes d'humeur, surtout à l'approche de la pleine lune. Je suis assez stricte, autant en tant que professeur qu'en tant que directrice, mais c'est pour le bien des élèves. Bien entendu, je sais aussi m'amuser. On dit que j'ai le sourire facile, excepté lorsqu'il s'agit de sujets graves ou bien si je suis contrariée. Je m'entends bien avec tout le monde, j'essaye d'être un maximum conpréhensive et tolérante, bien que j'avoue avoir un peu de mal à supporter la vue d'un Vampire. Mais cela est dû à ma race, que voulez-vous. Je pense être en somme une personne assez cohérente, tant avec moi-même qu'avec les autres. Mais chacun à ses petits défauts, n'est-ce pas ?
Particularité(s) : Aucune. Du moins, il me semble...
Race : Lycan
__________________


Histoire :
Je suis née lors d'une nuit d'orage. Certains pourraient penser à un funeste présage, mais il n'en est rien. J'ai eu une enfance assez facile, mes parents étant de ces bourgeois moyens qui font tout leur possible pour donner à leur enfant l'éducation qu'ils méritent. Je suis fille unique, et je dois dire que cela a facilité pas mal de choses de ce côté-ci. Durant mon enfance, aucun fait marquant n'est à noté. Je fus fiancée assez tôt (j'avais alors quatorze ans) au fils d'un bourgeois plus riche. Mes parents avaient déjà planifié le mariage alors que je n'avais que huit ans. Mon fiancé était à peine plus âgé que moi. Il avait tout juste dix-huit ans au moment des fiançailles. Nous nous connaissions à peine, mais déjà un profond respect nous unissait. Nous n'étions pas amoureux, certes. Du moins pas l'un de l'autre. Il aimait cette fille de banlieue, une enfant de fermier, et pour ma part mon coeur était à Ludwig, un étudiant allemand que mes parents hébergeaient pour la durée de ses études. Je ne savais pas si mon amour était réciproque, mais peu m'importait à l'époque. Je me mariais avec mon fiancé, Joshua, et notre union, bien que courte, ne fut pas un échec pour autant. Je fus enceinte pour la première fois à dix-neuf ans, et lorsque l'enfant naquit il fut baptisé Edward, en l'honneur de mon père. Notre deuxième enfant fut une fille, que nous appelâmes Isabelle, un prénom à consonnance française parce que nous aimions ce pays Joshua et moi. Les enfants grandirent, ils furent confiés à une nourrice comme cela se faisait dans ce temps-là, et ils eurent un précepteur qui leur apprit tout ce qui était nécessaire. Lorsque j'eus trente et un ans, je tombai malade. Les médecins disaient que rien ni personne ne pouvait me guérir, exepté un miracle divin. Et ce miracle arriva. Il s'appelait Henri. Henri était Français, jeune et pinpant comme un bouton de rose à peine éclot, et il m'aimait. Je sus résister à ses avances malgré la difficulté de la chose. Après tout, j'avais appris à aimer mon époux, et notre couple était heureux. Mais Henri était étrange. Les nuits de pleine lune, il s'enfermait seul, dans le noir de sa chambre, et ne sortait que le lendemain matin, échevelé et l'oeil hagard. Plus tard, je compris pourquoi. Un soir où la lune était aussi ronde que le ventre d'une femme enceinte, mon époux étant en voyage d'affaire et les enfants chez leur nourrice, j'allai frapper à sa porte. Il ne m'ouvrit pas et me cria de partir. Rien à faire, j'étais à l'époque une femme très têtue. J'entrai, la porte n'était pas fermée à clef. Je pensais qu'il était mal, et c'était pour cette raison que je voulais le voir. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je le vis là, en face de moi, avec une pilosité digne des grands macaques d'Afrique Noire ! Il était en train de s'enchaîner au montant du lit. Lorsqu'il me vit, il laissa tomber ses vaines tentatives et plongea sur moi. Je ne sus si c'était l'effet de la colère ou bien l'odeur de chair fraîche qui le poussa à m'attaquer, mais maintenant, avec le recul, je penche pour un mélange des deux. Il n'empêche qu'il me mordit au bras, assez fort pour m'arracher un morceau de chair, et sous le choc je m'évanouis. Lorsque je me réveillai, il faisait jour et j'étais dans ma chambre, un bandage autour du bras, et il était à mon chevet. Il n'osait me regarder dans les yeux. J'ai un moment cru avoir rêvé, mais la douleur dans mon bras me ramena rapidement à la réalité. Il leva son regard sur moi au bout d'un long moment, et dans ses yeux je lus de la tristesse. Il resta silencieux un instant avant de me dire ce qu'il était, et ce que j'allais devenir. Si je l'ai cru ? A cet instant, non. Mais la pleine lune suivante, oh, oui ! Déjà, les médecins constatèrent un effet sur ma santé : je guérissais à vue d'oeil. Puis vint la nuit tant redoutée de la pleine lune. Mon époux dormait là, à mes côtés, et lorsque je me réveillai au beau milieu de la nuit, je ne pus m'empêcher de le fixer du regard, une faim ardente brûlant mon estomac. C'est alors que je compris. Une violente douleur me transperça de part en part et je me mis à changer. D'abord, ce fut mon visage qui muta en museau de loup, plus mon corps qui se couvrit de poils. Mon "pelage" n'était pas noir comme celui d'Henri, non, il était clair comme mes cheveux. Lorsque je fut devenue louve, je dévorai mon mari sans la moindre pitié. Ce n'est que le lendemain matin que, réalisant mon geste, je m'enfuis. J'ai longtemps erré avant de rencontrer d'autres créatures comme moi, mi-humains, mi-loups, et je restai avec eux le temps d'apprendre à maîtriser mes instincts animaux.
Je me souviens de ma première rencontre avec celle qui allait devenir la directrice adjointe de l'Ecole. Je m'étais embarquée sur un bateau en direction de la Chine dans l'optique de rencontrer d'autres lycans là bas. En fait de lycan, je sentis rapidement une présence étrange sur le paquebot. C'est elle qui est venue m'aborder en premier. Tout comme moi, elle avait senti ma différence. Très androgine, elle s'est tout d'abord faite passer pour un homme avant de m'avouer quelques jours plus tard qui elle était en réalité. J'avoue n'avoir été qu'à moitié surprise : certains gestes ne trompent pas. Nous eûmes une très longue discussion, chacune de nous racontant à l'autre son passé, sa transformation, son présent. Un lien nous unissait, très fort, celui de l'amitié. Car malgré que nous venions d'horizons différents, nous avions beaucoup de points communs. C'est avec regrets que nous nous séparâmes une fois en Chine, nos routes allant à l'opposé l'une de l'autre.
Des années plus tard cependant, alors que j'étais revenue en Angleterre, j'étais au théâtre pour une représentation de Faust lorsque je sentis une présence familière dans la salle. Regardant autour de moi, je ne tardai pas à repérer cette silhouette familière qu'était celle de Mendel Von Karlyen. Elle aussi m'avait vue... Nous allâmes boire un verre après la représentation, discutant de ce que nous avions fait durant les années de séparation, et de ce que nous comptions faire maintenant. C'est ainsi que naquit l'idée de créer l'Ecole des Ombres...
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